Technologie

5 conseils pour bien démarrer le DIY e-liquide

Si vous souhaitez vapoter, le DIY e-liquide s’invite dans votre matériel pour découvrir de nouvelles sensations. Ce mode de consommation pousse à fabriquer soi-même (Do It Yourself) le contenu de sa cigarette électronique. Créer sa propre portion magique, d’accord, mais comment ? Il faut forcément commencer quelque part, où ? On vous guide avec 5 conseils.

1. Choisissez le goût parfait pour votre DIY e-liquide

Plus le goût qui surplombe vos sens à chaque vape est agréable, plus vous y prenez plaisir. Il faut donc que vous choisissiez la bonne saveur. Sur ce point, les fabricants diversifient largement leurs gammes pour le DIY e-liquide. Comment vous orienter ? Demandez-vous ce que vous voulez. Si vous êtes attaché à l’odeur du tabac, tournez-vous vers les vendeurs proposant des arômes de même type : brun corsé, mentholé, blond doux, etc.

Mais si vous voulez partir à la découverte de nouvelles dimensions, les autres catégories de fragrances devraient vous intéresser. On distingue :

  • les classics : ils assurent la transition entre la cigarette traditionnelle et l’e-cig ;
  • les fruités : ils délaissent un goût de fruit dans la bouche (pomme cannelle, menthe…) ;
  • les gourmands : à chaque usage, ils produisent un effet sucré sur la langue ;
  • les boissons : ils emportent la sensation de savourer de l’alcool, du pastis, ou du rhum.

2. Optez pour le bon volume de vapeur

Les DIY e-liquide ne garantissent pas les mêmes goûts. Pareillement, ils ne fournissent pas des quantités identiques de vapeur. Afin de ficeler votre choix, trouvez le juste milieu entre saveur recherchée et hit. Une piste à explorer consiste à considérer le ratio de PG/VG fixé :

  • 30 % PG ; 70 % VG : votre hit se révèle et s’accompagne d’une fumée conséquente ;
  • 50 % PG ; 50 % VG : le hit demeure moyen et la vapeur aussi ;
  • 70 % PG ; 30 % VG : le hit s’affirme et la quantité de vapeur devient abondante ;
  • 100 % VG : vous n’obtenez aucun hit, mais une buée abondante.

Le ratio idéal pour le DIY e-liquide dépend de votre mode de consommation de clope traditionnelle. Tenez-en compte pour démarrer l’aventure et pour que votre sevrage soit une réussite. À cet effet, découvrez les conseils du blog Gataka.

3. Prenez le bon taux de nicotine

La nicotine demeure interdite de vente, car elle participe au développement du cancer chez le fumeur. Mieux, elle crée une addiction. On ne s’en passe pas du jour au lendemain au risque de ressentir des effets secondaires : traumatisme, vomissement, manque, insomnie… Voilà pourquoi, pour les e-cigarettes, les fabricants en proposent sous différents dosages avec pour maximum 20 mg/ml. On les appelle les boosters.

Muni de cet équipement, créez vos jus de DIY e-liquide tout en veillant à baisser progressivement le niveau de nicotine. À la longue, vous pourrez vous en passer. Et plus tard, il vous sera même possible d’arrêter de fumer. Après tout, la clope électronique constitue une solution temporaire.

4. Trouvez la bonne e-cig

Comme pour l’arôme, le choix du contenant doit être soigneusement mûri. Dans le commerce, il existe une pluralité de modèles : de l’entrée au haut de gamme, en passant par le niveau intermédiaire. Donc, en plus du type de consommation envisagé, vous devriez vérifier votre budget. D’un autre côté, on retrouve les kits. Recommandés pour un bon début de DIY e-liquide, ils se vendent à bon prix avec une qualité implacable. Enfin, si vous savez choisir.

5. Utilisez un clearomiseur performant

Le clearomiseur demeure la pièce centrale d’une cigarette électronique. Les marques en proposent une panoplie. Certains se dotent de double coil, d’autres produisent de la vapeur froide ou chaude, et d’autres encore peuvent être jetés après usage. Pour démarrer, vous pouvez voir du côté des clearos simples. Incassables, faciles à entretenir et équipés d’un système anti-fuite, ils restent efficaces. Découvrez d’autres astuces sur cette page.

Se servir d’une cigarette électronique peut sembler pénible au départ. Mais avec de la méthode, et surtout en opérant les bons choix d’équipements, on en tire le meilleur profit.

"Léa les bons tuyaux" me surnommaient déjà mes camarades de classe à la fac. Ici, pas de chichis ni langue de bois, uniquement des informations croustillantes !

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